Sous le pseudo @rivaslunaa_, Luna utilise son espace pour partager son quotidien. Dans sa dernière publication, la jeune femme aborde avec sincérité différents aspects de son expérience d’immigration, contrastant avec la perception générale selon laquelle « tout va bien ».
En ce sens, il a souligné que la réalité de ceux qui émigrent est loin de l’image idyllique souvent projetée sur les réseaux sociaux. « Vous vivez dans la peur de rester pauvre, de ne pas avoir d'endroit où dormir », a-t-il avoué. La décision de vivre à l’étranger ne s’est pas faite sans difficultés initiales qu’il n’avait pas anticipées et qui ont mis en évidence la complexité d’établir des liens de confiance dans un nouvel environnement. « Il faut trouver des compagnons, des colocataires , et on n'a pas confiance, car qui sont-ils ? "On ne peut faire confiance à personne", a-t-il déclaré.

Bien qu’elle ne généralise pas, Luna a expliqué que ces difficultés sont courantes chez ceux qui décident de déménager dans un autre pays. "Il y a des situations dans lesquelles on a envie de fondre en larmes", a-t-il reconnu. En outre, il a souligné l'instabilité du travail et de l'économie , soulignant que "vous mourez de faim, un jour vous aurez peut-être un travail, mais un autre non". La jeune femme a également révélé la contradiction entre la réalité qu'elle a vécue et ce qu'elle a montré sur les réseaux sociaux : "Vous postez sur Instagram et tout le monde y croit."
Malgré les adversités, il a conclu sa vidéo par un message d’espoir, dans lequel il a souligné la bravoure, le courage et la détermination nécessaires pour émigrer, garantissant que « finalement, tout se met en place ». Le clip a accumulé des milliers de vues, générant une vague de réactions dans la section commentaires, où d'autres internautes partagent leurs propres expériences et se montrent solidaires face aux difficultés qu'implique la vie à l'étranger.
« Je préfère être pauvre à Miami que fou ici », « Très vrai... imaginez, je suis à Dubaï depuis 4 mois.... Dans mon cas, au bout de 4 jours j'ai trouvé un travail mais il reste encore des jours où je veux tout casser" et "Je vis ici à Miami depuis 32 ans et à long terme tu t'installeras, bonne chance", sont quelques-uns des messages.