
Une vidéo partagée sur TikTok par un utilisateur bien connu a déclenché un intense débat en ligne et a mis en lumière des allégations d'abus de travail à La Casa de Toño , un restaurant mexicain bien connu qui possède plusieurs établissements à travers le Mexique.
Il y a quelques jours, une vidéo est devenue virale dénonçant une série de conditions de travail défavorables et de pratiques de gestion douteuses qui, selon lui, se produisent dans le restaurant. Les allégations incluent de longues heures de travail sans pauses adéquates pour manger ou se reposer, la non-reconnaissance des heures supplémentaires effectuées, des pressions pour respecter les quotas de vente et la prétendue rétention de pourboires par la direction du restaurant.
La vidéo montre l'un des serveurs de ladite chaîne de restaurants avec les poches de son pantalon cuites, comme cela avait été rapporté précédemment, ce qui démontrerait la véracité des allégations.
La vidéo est rapidement devenue virale, accumulant un grand nombre de vues et de commentaires sur les réseaux sociaux. Cela a déclenché un débat intense en ligne, certains utilisateurs exprimant leur soutien aux personnes qui y travaillent et d'autres remettant en question son authenticité.
La Casa de Toño, connue pour sa popularité et sa concentration sur la cuisine mexicaine traditionnelle, a publié une déclaration en réponse à la controverse. Dans le communiqué, la chaîne de restaurants s'est dite attachée au bien-être de ses employés et a annoncé qu'elle enquêterait sur les allégations. Elle a également souligné qu'elle prend au sérieux toute plainte relative aux conditions de travail dans ses établissements.
Bien que ce ne soit pas la seule preuve, dans une autre vidéo mise en ligne sur la même plateforme, un client de La Casa de Toño, après avoir vu la vidéo sur les réseaux sociaux, a décidé de vérifier la véracité des allégations. Il s'est rendu à la succursale la plus proche et a demandé à un employé si les allégations étaient vraies. Dans un premier temps, l’employé a nié ces allégations, mais a ensuite confirmé qu’elles étaient vraies.