Les farces sur les réseaux sociaux, notamment sur TikTok, sont devenues un phénomène viral récurrent. Cependant, un épisode récent a suscité un débat autour des limites éthiques de ces pratiques humoristiques. Ale Gómez, une utilisatrice de TikTok connue pour ses farces, a partagé une nouvelle vidéo dans laquelle elle a effrayé son partenaire pendant qu'il dormait.
Gómez a décidé d'enregistrer sa dernière farce : réveiller son petit ami avec un masque de démon. La vidéo montre comment la jeune femme est allongée à côté de son partenaire, qui dort profondément, portant le masque. Même si au départ son intention était d'attendre qu'il se réveille naturellement, Gómez a choisi de faire des bruits simulant des pleurs pour accélérer le processus.
Sa compagne, alertée par les bruits, s'est réveillée et s'est approchée pour la réconforter. Lorsqu’il a découvert le masque, il a réagi avec un tel choc qu’il a sauté du lit et est tombé au sol. La vidéo était accompagnée du texte « Il me déteste » et a suscité de multiples réactions et commentaires de la part d'autres utilisateurs de TikTok, allant de l'amusement à la critique sur le danger potentiel de telles farces.

Cet épisode met en lumière la tension entre divertissement et éthique sur les réseaux sociaux. Si certaines blagues font rire et deviennent virales, il existe aussi des cas où la frontière entre humour et danger devient floue.
La vidéo de la jeune femme a été vue plus de 6 millions de fois sur TikTok. De plus, il a dépassé plus de 1,2 million de likes. "Il se lève parce qu'il l'entend pleurer haha", "Parfois, je veux juste qu'un petit ami lui rende la vie impossible", "Elle est restée par terre en serrant la couette hahaha", "Honnêtement, je veux juste qu'un petit ami fais ces blagues hahaha", "Le maigre : je suis fatigué, patron", "Il n'arrive même plus à dormir paisiblement", "Pour ces choses, je veux un petit ami haha", "La patience d'Alfredo", "Hahaha, j'ai déjà mal au ventre à force de rire", ont été quelques-uns des commentaires des utilisateurs du réseau social.